Auteur de l’article : Sara Middleton
Date de parution : 4/02/22
Une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) déclare que les injections d’ARNm COVID augmenteraient l’apparition de problèmes de santé dont des maladies chroniques et des cancers.
Dans leur article « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes and microRNAs » ils exposent leur hypothèse comme quoi ces injections apporteraient des modifications génétiques, avec des effets néfastes sur notre système immunitaire.
D’après eux, cela pourrait induire une sensibilité accrue au COVID 19 dans les deux semaines suivant la première injection. Ce n’est plus un secret maintenant que ces injections ne permettent pas efficacement un arrêt de transmission virale.
Avec une, deux ou trois doses, on peut être moins équipé pour combattre le virus.
Ils apportent des éléments de réponses complexes sur la physiopathologie mettant en évidence un potentiel impact sur la synthèse des protéines dans l’organisme et la présence de protéine spike.
Questionnement : Pouvons-nous déjà nous attendre à voir une augmentation de l’incidence du cancer après l’injection ? Oui, d’après cet article et l’exposé des chercheurs, si les dits vaccins conduisent à un dérèglement généralisé des oncogènes, du cycle cellulaire et de l’apoptose.
Ils exposent les données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) montrant un ratio de 2:1 concernant de nouveaux diagnostics de cancers post injection COVID par rapport à l’incidence des cancers sur l’ensemble des autres vaccins au cours des 31 dernières années. Par exemple, des ratios inquiétants sont donnés concernant le cancer de l’ovaire, du foie ou encore un lymphome (cf tableau dans l’étude).
Enfin, leur analyse se porte sur les perturbations immunitaires et cellulaires induites par ces injections et le lien de causalité direct qui pourrait être mis en évidence pour les maladies suivantes : maladie neuro-dégénérative, myocardite, paralysie de Bell, maladie du foie, thrombocytopénie immunitaire, augmentation de la croissance tumorale, dommages à l’ADN…
Ils demandent donc l’arrêt immédiat de ces injections jusqu’à ce que d’autres études soient menées pour déterminer l’étendue des conséquences pathologiques potentielles.
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